Je dois 15 mn de bonheur à un pain et un journal
Depuis hier soir, une envie de rencontre me trotté dans la tête, mais comment faire pour me rendre sur cette aire de repos qui sert de lui de rencontre sans éveiller les soupçons de ma femme. Les bonnes idées viennent en généralement le soir quand vous n’arrivez pas à dormir.
Et ce matin, j’avais un plan sympa pour justifier une sortie solitaire non loin de cette aire de repos, tout simplement en proposant à Mme de lui ramener le pain et le journal pendant ce temps elle pourrait se détendre à la maison devant son programme préféré à la télé.
Aussi sur le coup de 10 heures, je lui fis par de ma sortie qu’elle accepta sans problème.
Après un lavement spécifique, on ne sait jamais, je descendis en cachette à la cave pour me préparer discrètement à me travestir, c’est là où je cache mes affaires coquine dans un vieux sac de sport dissimulé derrière des armoires de rangement.
Il fait beau, pour la boulangerie, je serai en short (nu en dessous) et polo. Donc avant de partir en auto, je saisis mon sac et en tira mes bas que j’enfilai à mes pied en dissimula ceux-ci dans mes chaussettes.
C’est ainsi équipé que je passai à la boulangerie et après existé comme une folle me rendis sur mon aire de repos favorite.
Une seule voiture présente hélas ! Pensais-je en moi-même, si je tombe sur un voyeur : c’est rappé.
Je me gare juste derrière ce véhicule. Avant de sortir de l’auto, je remonte mes bas, enlève mon short pour y mettre ma petite jupe plissée et c’est ainsi que je grimpe un petit talus permettant d’accèdes au bois.
Je fis quelque mettre pour arriver à la hauteur du chauffeur qui lui se trouvai alors sur la route en contre bas, son regard me suivait. Je fis tomber volontairement mes clefs de l’auto à terre dans le but de lui faire entrevoir le menu que je lui proposer : une jupette ouvrant la vue sur un cul libre de toute emprise.
Mon stratagème marchât immédiatement, la porte de sa voiture s’ouvrit et un homme dans la quarantaine en sortie, et lui aussi monta le petit talus donnât accès au bois.
Je sentais qu’à 75 % de chance cela aller bien se passer. Je me dirigeai plus profond dans ce bois afin de n’être pas gêné par des promeneurs éventuels et autres.
Après une trentaine de mètre, un peu à l’écart, une belle souche d’arbre s’y trouvé, et au vue des traces de passage, cet endroit propice était fort fréquenté par la gent masculine.
C’est en appuis sur cette souche légèrement penché vers l’avant, fesse cambrée que j’attendis mon poursuivant.
Très rapidement, je sentis une main me fouiller ma chatte, son souffle était rapide, l’excitation était là.
Je sentais son désir monté car de ma main baladeuse je caressai un objet qui prenait petit à petit forme et raideur. N’en tenant plus, je me retournai et me mis à genoux devant ce membre viril qui semblait apprécié ma soumission.
C’est avec délice que mes lèvres se posées sur lui, et avec un va et vient tout le long de ce membre, je pris du bonheur .Je lui lécha les couilles, le cul, il aimait.
Apres 2 à 3 mn, j’avais envie qu’il me pénètre, donc je me redressai afin de lui présenter mon orifice que ma jupette retroussée avez du mal à masquer. Prévoyant je lui tendis un préservatif qu’il enfila et c’est ainsi que je sentis son membre me pénétrer lentement mais surement, une fois bien au fond, j’ai eu droit à des coups de rein de plus en plus prononcés .Il me pilonna le cul comme une bonne salope qui le mérite. Je crois avoir gémi de bonheur, j’étais bonne à prendre, hummmmmmm !.
Puis après un long moment en moi, il se retira, enleva sa capote et me demanda de lui sucer ses couilles, j’exécutai sa demande. Exciter par ma position à genoux devant lui, son sexe à hauteur de ma tête, il se masturba pendant que ma bouche prenait soin de ses glands.
Je sentais que l’issue de notre rencontre aller prendre bientôt fin, aussi avant qu’il jouisse, je repris sa pine en bouche et je sentis s’épanouir en moi plusieurs giclées de sperme par saccade, un vrai bonheur.
Moralité :
Je vais essayer d’être plus affectueux avec ma femme et je lui ramènerai plus souvent le pain et le journal
Et ce matin, j’avais un plan sympa pour justifier une sortie solitaire non loin de cette aire de repos, tout simplement en proposant à Mme de lui ramener le pain et le journal pendant ce temps elle pourrait se détendre à la maison devant son programme préféré à la télé.
Aussi sur le coup de 10 heures, je lui fis par de ma sortie qu’elle accepta sans problème.
Après un lavement spécifique, on ne sait jamais, je descendis en cachette à la cave pour me préparer discrètement à me travestir, c’est là où je cache mes affaires coquine dans un vieux sac de sport dissimulé derrière des armoires de rangement.
Il fait beau, pour la boulangerie, je serai en short (nu en dessous) et polo. Donc avant de partir en auto, je saisis mon sac et en tira mes bas que j’enfilai à mes pied en dissimula ceux-ci dans mes chaussettes.
C’est ainsi équipé que je passai à la boulangerie et après existé comme une folle me rendis sur mon aire de repos favorite.
Une seule voiture présente hélas ! Pensais-je en moi-même, si je tombe sur un voyeur : c’est rappé.
Je me gare juste derrière ce véhicule. Avant de sortir de l’auto, je remonte mes bas, enlève mon short pour y mettre ma petite jupe plissée et c’est ainsi que je grimpe un petit talus permettant d’accèdes au bois.
Je fis quelque mettre pour arriver à la hauteur du chauffeur qui lui se trouvai alors sur la route en contre bas, son regard me suivait. Je fis tomber volontairement mes clefs de l’auto à terre dans le but de lui faire entrevoir le menu que je lui proposer : une jupette ouvrant la vue sur un cul libre de toute emprise.
Mon stratagème marchât immédiatement, la porte de sa voiture s’ouvrit et un homme dans la quarantaine en sortie, et lui aussi monta le petit talus donnât accès au bois.
Je sentais qu’à 75 % de chance cela aller bien se passer. Je me dirigeai plus profond dans ce bois afin de n’être pas gêné par des promeneurs éventuels et autres.
Après une trentaine de mètre, un peu à l’écart, une belle souche d’arbre s’y trouvé, et au vue des traces de passage, cet endroit propice était fort fréquenté par la gent masculine.
C’est en appuis sur cette souche légèrement penché vers l’avant, fesse cambrée que j’attendis mon poursuivant.
Très rapidement, je sentis une main me fouiller ma chatte, son souffle était rapide, l’excitation était là.
Je sentais son désir monté car de ma main baladeuse je caressai un objet qui prenait petit à petit forme et raideur. N’en tenant plus, je me retournai et me mis à genoux devant ce membre viril qui semblait apprécié ma soumission.
C’est avec délice que mes lèvres se posées sur lui, et avec un va et vient tout le long de ce membre, je pris du bonheur .Je lui lécha les couilles, le cul, il aimait.
Apres 2 à 3 mn, j’avais envie qu’il me pénètre, donc je me redressai afin de lui présenter mon orifice que ma jupette retroussée avez du mal à masquer. Prévoyant je lui tendis un préservatif qu’il enfila et c’est ainsi que je sentis son membre me pénétrer lentement mais surement, une fois bien au fond, j’ai eu droit à des coups de rein de plus en plus prononcés .Il me pilonna le cul comme une bonne salope qui le mérite. Je crois avoir gémi de bonheur, j’étais bonne à prendre, hummmmmmm !.
Puis après un long moment en moi, il se retira, enleva sa capote et me demanda de lui sucer ses couilles, j’exécutai sa demande. Exciter par ma position à genoux devant lui, son sexe à hauteur de ma tête, il se masturba pendant que ma bouche prenait soin de ses glands.
Je sentais que l’issue de notre rencontre aller prendre bientôt fin, aussi avant qu’il jouisse, je repris sa pine en bouche et je sentis s’épanouir en moi plusieurs giclées de sperme par saccade, un vrai bonheur.
Moralité :
Je vais essayer d’être plus affectueux avec ma femme et je lui ramènerai plus souvent le pain et le journal
3 năm trước đây